Respecter, protéger et renforcer les droits fonciers des femmes et des hommes vivant dans la pauvreté en veillant à ce que nul ne soit privé, notamment par expropriation, expulsion ou exclusion, de l’utilisation et du contrôle de la terre dont dépendent leur bien-être et leur dignité, et à ce que les changements obligatoires dans les régimes fonciers soient conformes aux normes et au droit international des droits de l’Homme.